L’œil intérieur, mangeur d’âmes…
Si le travail d’esquisse (*) est la projection transcendantale du moi en jaillissement d’une forme fantasmée, qui prend vie sur la toile, alors la photographie, deus ex-machina chimérique, est le véhicule symbiotique qui éveille l’œil intérieur, et embrase son insatiable appétit d’âmes.
C’est pourquoi, intrinsèquement, la photographie ne pourra jamais être la béquille du dessinateur sans patte…
(*) peinture, dessin
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